Science-fiction/Littérature/Cnidaria- Reine méduse
CNIDARIA, Reine méduse
Comme annoncé précédemment….Publication de mon nouveau roman de science-fiction, Cnidaria, chez Libre d’écrire.
Son histoire se place dans la continuité de mes autres romans car les évènements relatés se déroulent dans le monde réel mais leurs frontières actuelles, construites avec les pierres de la logique, s’élargissent et entraîneront l’intrigue dans un univers imaginaire, irréel.
Pudiquement, mes livres porteront alors les habits parfois anciens, acceptés aujourd’hui dans notre monde moderne, des mythes fondateurs des sociétés traditionnelles, des contes et de la science-fiction.
L’homme rangera dans les armoires du temps les habits qu’il aura endossés tout au long de son évolution, sans jamais pouvoir ni oser les jeter.
Après Main basse dans le sixième continent que j’aurai publié en 2014, voici Cnidaria.
Dans ces deux livres le monde de l’eau, avec ses mers et océans, sa surface, profondeur et animaux, sera dominant.
L’histoire met en exergue, comme le font de nos jours de nombreuses études scientifiques, les frictions existant entre les différents habitants de la Terre du fait des équilibres naturels aujourd’hui rompus. Cela concernera aussi bien l’homme, l’animal, le végétal ou même simplement le minéral.
Il s’insère dans la prise de conscience des hommes sur les problèmes écologiques qui, depuis une décennie et d’année en année, s’amplifie.
La formulation poétique par les mots qui la bâtissent, rejoindra, même de nos jours, la magie, la puissance que les sociétés traditionnelles leur attribuaient.
Les mots dont les significations permettront d’échanger des informations entre les hommes auront toutes leur place dans l’invisible, le vide, qui occupe l’espace entre eux et autour d’eux et, à ce titre, leurs présences seront essentielles à la pérennité de la vie.
La mer-1, graphisme.
La mer-2, le sable, l’eau et le bateau.
Annexe— Apologie du vide
Le vide attirera l’esprit de l’homme avec la force d’un aimant.
De l’importance des mots.
Tout ce qui liera entre eux deux objets de l’univers sera essentiel, qu’il soit parole, symétrie, reflet dans un miroir ou d’une nappe d’eau, gémellité, nombre, symbole ou autre car il occupera l’invisible, devenu vide pour les hommes, qui est un concept lié à ce que ne saurait pas voir l’homme avec ses yeux, et, à ce titre, sa connaissance du monde sera restreinte du fait des limites liées à sa physiologie.
L’esprit alors compensera en cherchant à pénétrer l’inconnu.
Il empruntera pour cela, suivant les sociétés ou époques, les chemins de la science, de la magie ou religion, de la philosophie ou de l’art, écriture, poésie, peinture ou sculpture….
L’écriture dont le sens et l’émotion des phrases traverseront le vide pour se réfugier dans l’esprit d’un homme. Une phrase est constituée de lettres et mots objets portant un sens qui formera un pont, franchissant le vide, entre les hommes.
L’architecture dont les formes pleines seront percées de cavités, créant des vides qui accueilleront la vie en reproduisant à l’infini les grottes maternelles des hommes préhistoriques dans lesquelles ils vivaient sous la protection de sculptures magiques à l’image des vénus callipyges préhistoriques, figures symbole de la vie, de la reproduction qui la perpétue et aussi de la Terre qui l’accueille et la protège.
Science-fiction et polar.
Cnidaria, reine méduse, est un livre de science-fiction puisqu’il extrapolera notre présent dans un futur recomposé, peut être improbable, à partir d’une translation des problèmes et du savoir d’aujourd’hui dans un avenir lointain, pas si lointain que cela pourtant.
Il ne fera pas l’apologie de la science comme étant le destin heureux de l’humanité car, même si cela était le cas et la seule issue possible pour l’épanouissement de notre avenir puisqu’elle emprunte les chemins de la connaissance, elle devra au préalable vaincre ses mauvais démons.
Le chemin pour arriver au bonheur de l’humanité est encore bien long et les obstacles à franchir nombreux et difficiles, comme le sera conflit des méduses, en 2045.
Cnidaria est un roman policier car son histoire relatera tout au long de ses pages l’enquête que mèneront trois inspecteurs sur une série de meurtres inexpliqués. L’histoire du livre sera celle d’une guerre, le conflit des méduses, qui aura lieu en 2045 entre les hommes et le monde de l’eau conduit par une Reine étrange, Cnidaria, une reine Méduse.
International.
L’affaire deviendra internationale et, au cour des dénouements, elle entraînera le lecteur jusqu’en Chine. Le roman servira de réflexion sur les quelques caractéristiques de ce pays moderne dont les traditions perdurent encore.
Écologie
Cnidaria symbolisera de façon allégorique, comme le ferait le personnage principal d’un mythe ou d’une légende ancienne, les problèmes écologiques que le monde moderne imposera, au quotidien, à la Nature.
Dans l’histoire, apparaissent des poissons des abysses, des monstres mutants, des hommes méduses qui chercheront à remplacer les hommes sur Terre. S’ils avaient une religion, leurs dieux se nommeraient, Extinction, Pollution ou Dérèglement.
Le grand bleu- La quatrième de couverture
Cnidaria, Reine méduse, le livre.
Rêve de méduse.
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