Édition à compte d’auteur /L’oiseau écrivain/Les assauts du caniche littéraire
Holà ! Il y a que cela quelque temps j’ai déposé quelques-uns de mes œufs littéraires « Le conflit Oiseaux & Cie » dans un endroit où quelques personnes, s’ils le désiraient, pouvaient le prendre.
Mauvaise pioche pour l’un d’eux, le nom du blog est branché culture, qui le prit aussi comme une sorte d’emblème d’un combat contre l’édition à compte d’auteur et le présentant comme étant un livre sans intérêt et un ouvrage détestable, en trainant aussi dans la boue mes précédents livres.
Nos forêts.
Il est vrai que la production de trop de papier nuira à l’équilibre écologique de notre planète et qu’une réduction d’impression de livres inutiles serait, sur le plan mondial, un acte écologique favorable, participant au bien être de nos forêts.
Il conviendrait donc de supprimer tous les livres issus du monde libre des écrivains à compte d’auteur qui ont pourtant, dès à présent, l’avantage écologique de se publier très peu et l’avantage social de permettre à ceux qui le veulent, de procéder à un acte créatif canalisant leurs énergies dans le domaine de l’art qui, depuis toujours, figera leurs peurs et angoisses dans des objets littéraires, sculpture, peinture ou cinéma.
Ceci est un intérêt évident pour l’équilibre de nos sociétés car évite de jeter les gens dans la rue.
La partie immergée de l’iceberg littérature.
En ce qui concernera la littérature, Il conviendrait, très certainement, pour rester dans un objectif de qualité tant littéraire que d’impact écologique de supprimer, dans un souci de justice ou d’honnêteté intellectuel, une bonne moitié de toute la production mondiale tant de ce qui s’écrit dans la partie émergée de l’iceberg littérature que dans sa partie immergée dans lequel on retrouvera l’édition à compte d’auteur et probablement 40 % des éditions à compte d’auteur, ce qui préoccupe Madame Marie-Sophie Grognet, qui me nomme et que je nomme.
Le caniche littéraire
Pour moi, dans ma perception de la vie, cette personne évoluera dans le monde des caniches et pourrait adopter, sans problème, le surnom du caniche littéraire.
Elle utilise pour s’exprimer un blog qui contient dans son intitulé le mot culture et je pense que l’explication devra venir du fait qu’elle devra cultiver une quantité d’épinards considérables afin de pouvoir, à la manière de Popeye, donner de la force à sa voix lorsqu’elle aboiera, car les caniches auront, par nature, de petites voix et mangeront, bien coiffé et parfumés, dans l’écuelle de leurs maitres.
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