Littérature et société/Quelques réflexions du clown Noix de coco.
Image de mise en avant, photo du clown Noix de coco.
Le clown Noix de coco.
Je l’ai aperçu ce matin, à moitié caché derrière une poubelle. Il exhibe un visage aux expressions malicieuses et tire une langue rouge, le faisant ressembler à Einstein, du moins à certaines photos connues d’Einstein.
Son crâne est largement ouvert afin de mieux faire sortir ses idées.
Le clown Noix de coco — Réflexion sur le monde d’aujourd’hui.
La lessiveuse sociétales.
Le monde d’aujourd’hui est semblable à une lessiveuse dans laquelle les vêtements, en se mélangeant entre eux dans des tourbillons d’eau et de lessive, déteindront les uns sur les autres.
L’eau et le savon sont remplacés dans la lessiveuse sociétales par des accumulations d’informations venant de tous les côtés radio, télévision, journaux, réseaux sociaux, sans oublier l’éducation.
Ainsi les frontières des actions culturelles, jusqu’alors pré défini, ont tendance à s’étioler, se percer laissant alors entrer le scientifique dans l’art, l’architecte dans la littérature, le peintre dans la gastronomie…
Ainsi, le professeur n’a plus le monopole du mot et de la phrase bien faite, l’artiste peintre celui de l’image, le sculpteur de la matière qui prend forme. De toutes les façons, les œuvres se figeront dans une ambition d’éternité, fixant l’instant avec la même précision qu’un fossile qui, en réapparaissant, aura passé l’épreuve du temps.
Structurellement, une société reste figée à un moment donné dans les règles des pouvoirs qui la définissent mais elles seront constamment remises en doute par les recherches d’hommes innovants et qui, sans cesse, en progressant dans leurs idées, la feront évoluer.
Le clown Noix de coco — Quelques pensées fiscales et autres :
Les progrès de l’informatique et de la communication établissent les règles d’une nouvelle société mettant parfois à mal les anciennes formes de pouvoirs qui, étant ébloui par ces nouvelles lumières, auront du mal à s’adapter.
La fiscalité est comme la météo ; ce sont les températures et la fiscalité ressenties qui compteront pour chacun de nous.
Dans une société, nous sommes tous locataires d’un appartement qui, parfois et pour certains pays riches, seront construits dans des résidences de luxe, dont le montant des impôts et taxes fera le montant des loyers et que certains, malheureusement, ne pourront pas s’offrir.
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