Le WEB/Généralité/Extraits de texte du livre LE CONFLIT OISEAUX & CIE.

Image de mise en avant- L’homme, dans le typhon médiatique.

 La société d’aujourd’hui.

Dans mon dernier livre, le Conflit Oiseaux & Cie, les personnages aborderont parfois des thèmes importants concernant certaines particularités de notre monde moderne.

Celui-ci proposera de nouveaux outils pour le fonctionnement de notre société, que cela concerne le rapport des hommes entre eux ou d’autres thèmes, celui des hommes et des machines ou celui de l’ accélérations des communications tant sur le plan des déplacements que du développement de l’informatique permettant, sur le plan mondial, des accès de plus en plus rapides aux informations. Ces dernières inondent notre planète, puissance grand V, de toute une série de propos, plus ou moins exacts, laissant une place importante aux Fake news, et complétant, même parfois combattant les chemins classiques de prise de pouvoir, encore fortement présents et élitistes, que seront l’appartenance à une classe sociale, l’obtention de diplômes ou l’appartenance à un groupe d’influence, à une entreprise prospère, piégeant l’argent, comme une araignée attrapera des papillon avec sa toile.

Ces intrusions dans les mécanismes traditionnels de pouvoir feront, parfois, aussi régresser la société moderne dans des rixes de nature quasiment moyenâgeuses, tels les tournois entre chevaliers, dans lesquels les pouvoirs anciens et modernes s’affronteront.

Mutation.

Nous sommes donc arrivés de plain-pied dans une mutation totale des différentes sociétés humaines, jusqu’à présent séparées et cohabitant les unes auprès des autres dans un paquet planète. Elles s’agglutinent aujourd’hui et se mélangent dans une même entité, dans le cadre de l’ internationalisation d’à peu près tout ce qui était au préalable séparé soit, sans être limitatif, les races, les cultures, l’économie…

Mixeur et essoreuse.

Notre paquet planète contient aujourd’hui un agglomérat des particularités constituantes de son passé et continuera à tourner dans l’espace comme étant à l’intérieur d’un simple mixeur, fonctionnant avec l’énergie de son soleil.

Un mixeur, certes, mais qui aura aussi quelques une des caractéristiques d’une essoreuse car cette machine projettera à l’extérieur de la société, dans le chaos et la précarité, de nombreuses personnes, et, parfois même, certaines idées qui n’auront de cesse de vouloir rentrer dans le mixeur afin d’appartenir à la nouvelle conscience collective, telle l’écologie.

Extraits du livre, LE CONFLIT OISEAUX & Cie
Extrait 1– Philosophie

… Le concept d’inconnu et la magie qui l’habite sont des constantes indissolubles de l’âme humaine qui de nos jours auront pris pieds dans les expressions modernes de la communication par simple contact et transvasement d’informations entre les hommes. Cela sera de ces manières que, dans nos sociétés modernes, fonctionneront la publicité ou le Web dans le cerveau de l’homme, avec l’apport d’une bonne dose de subjectivité.

Extrait 2– Poésie

L’ingénu :

Le cosmos est tel un nid de serpents, occupant l’infini, mais, lorsqu’on observera le ciel la nuit on ne verra que des constellations.

Le philosophe :

Cela sera normal, car ces serpents seront invisibles, ils ne sont constitués que d’énergies et les constellations que pouvons observer ne seront, en fait, que la surface de leurs peaux.

L’Ingénu :

Et si le Web n’était qu’une réplique du cosmos possédant de mêmes objets célestes, de mêmes tunnels pour joindre un point à un autre, de puissantes énergies ?

Le Philosophe :

« Très certainement, car tout sera lié et se reflètera l’un sur l’autre comme sur un miroir. »

Extrait 3– Littérature- Science fiction.

La journée est finie, on se reverra demain devant l’écran d’un ordinateur. Apporte un maillot de bain, nous allons devoir barboter toute la journée dans l’océan gigantesque, quasiment astral, du web. Prévois aussi de prendre avec toi quelques cordes pour t’amarrer sur le clavier de notre ordinateur car ses houles ou vagues médiatiques arriveront souvent sur nous de façon imprévue et peuvent être dangereuses. Elles auraient la force de nous emporter au large, dans les abysses de la mer de l’imaginaire, peuplés de sirènes charnues, charmeuses et prédatrices, d’où, paraît-il, jamais on ne reviendra. »

Par Nicolas Antoniucci

Passionné par la vie dans ce qu’elle pourra avoir d'insolite, parfois d’inexplicable et aussi par l'art sous toutes ses formes, les voyages et bien entendu l'écriture, je vous propose de partager avec vous sur ce blog mes différentes passions !

Commentaires (0)

Laissez un commentaire

Votre adresse mail ne sera publiée. Les champs requis sont marqués *