Vie extraterrestre/ sixième sens/Extrait de texte Alcor Adam.
Image de mise en avant: Poisson volant translucide dans une planète aux trois soleils et recouverte totalement d’eau.
La téléphonie.
Comme je l’aurai écrit dans mon précédent article, la téléphonie nous accompagnera dans le monde moderne , à notre époque du troisième millénaire, dans lequel le corps de l’individu se prolongera de multiples prothèses lui permettant de faciliter ses communications tant avec les autres hommes qu’avec le monde qui l’entoure.
À ce titre, elle occupera une place dans le dossier du sixième sens qui sera, depuis toujours, ouvert aux côtés des cinq autres et regroupant en son sein toutes les facultés de l’esprit qui pourront l’aider à s’éloigner de son corps, voir plus loin dans l’univers, communiquer parfois avec l’invisible.
L’homme deviendra, peu à peu, un homme robot de chair, certes, mais aussi, parfois, possédant des inclusions de muscles d’acier pour être plus fort, arborant des antennes pour mieux entendre, utilisant des télescopes pour mieux voir.
Autant dire que l’homme d’aujourd’hui ne sera plus du tout celui qu’il était hier et qu’il conviendra de le reconnaître.
Autant, jadis, notre vie était rythmée par les sons des cloches des églises autant, de nos jours, elle le sera par d’autres choses, tels les bruits que produiront dans nos téléphones les arrivées, intrusives et successives, d’informations de tout genres et qui seront regroupées, par une sorte de magie scientifique, dans nos pôles d’intérêts personnels.
Aujourd’hui, mon téléphone vibre, couine et s’éclaire, voici une information.
Des savant américains auront défendu la thèse que, dans l’univers, la vie aurait pu apparaitre sur des planètes qui sont uniquement constituée d’eau et ne possédant aucune émergence de terre et, ceci, multipliera presqu’à l’infini les possibilités d’apparition de la vie dans le cosmos.
Voici la description d’une planète recouverte d’océan dans laquelle la vie aura pu se développer et s’épanouir, la planète A-Mare telle qu’elle sera apparu dans mon livre Alcor Adam.
Sur les milliards de planètes existantes un peu partout dans l’univers et qui seront disséminées dans toutes les galaxies, il y en aura bien une qui lui ressemblera.
Alcor Adam, 2 016, Space opéra/ Extraits de textes.
La planète A-Mare.
… En tant qu’Ata de la Tristesse, vous voyez comme je le vois que cette planète est terriblement dangereuse. Nous n’y retournerons jamais.
—Auriez-vous visité d’autres planètes dont les images seraient plus agréables à regarder ? demanda Mang Lu.
— Bien sûr… Nous avons par exemple exploré une planète que nous avons nommée A-Mare.
Même si elle est recouverte de terre et d’eau dans les mêmes proportions que les autres planètes symétriques, la vie n’y est restée qu’aquatique et a pris les formes géantes de poissons colorés semblant taguée, ou de coquillages aux belles formes complexes. Certains de ces coquillages font cinquante mètres de long et flottent comme le faisaient jadis les caravelles espagnoles sur vos océans. Sur leurs coquilles, de grandes excroissances, fines et larges, se dressent comme des voiles, ce qui, en leur donnant prise au vent, les fait avancer.
Les arbres ne sont que des algues ou des coraux qui, regroupés et agglutinés, constituent des architectures naturelles ou des îles gigantesques habitées par des papillons géants aux ailes bariolées comme des tableaux abstraits, dont les larves grandissent sous la mer dans des cocons aquatiques avant de se transformer et d’éclore en déployant leurs ailes hors de l’eau, comme le font chez vous les papillons éphémères.
Certains de ces édifices naturels atteignent, parfois, cinquante mètres de haut pour plusieurs centaines de kilomètres de long.
C’est un monde de beauté naturelle préservée, dans lequel les options esthétiques, tant en formes qu’en couleurs, de la Nature originelle seront restées intactes, car jamais aucune intelligence ne se sera développée sur cette planète pour pouvoir les abîmer.
Leurs océans sont habités par une vie animale complexe et diversifiée, mais les terres des continents sont totalement désertiques, constituées uniquement de sable et de rochers, balayées inlassablement de vents puissants et de pluies qui sculptent les pierres en fines dentelles – dans le goût traditionnel des Chinois, à l’image du jardin Yu yuan, à Shanghai. Celles devenues rondes, lisses et colorées sous l’érosion ressemblent à des tableaux abstraits, ou aux pierres de rêve de cette même culture asiatique.
Les poissons géants sortent de leurs océans et volent comme des exocets, occupant, dans le ciel, la place des oiseaux. Certains s’élèvent même au-dessus des nuages, comme le font au quotidien vos goélands ou nos oiseaux nus.
C’est un monde de géants dans lequel la Nature originelle sera partout présente, ayant installé la Beauté sur un piédestal ; elle ressemble, mais tout en s’étant développée de façon exponentielle, à celle que nous rencontrons encore dans certains coins de la Terre ou de A-Tarri, dans les fosses abyssales de nos océans, nos forêts vierges ou les flancs escarpés de nos montagnes.
Voici les superbes images que nous avons rapportées de cette planète. En tant qu’Ata de la Connaissance Planétaire, je vous présente la beauté universelle d’A-Mare.
Annexe.
Du fait que les origines de la vie sur Terre viendront des océans et aussi que chez les mammifères, et donc les hommes, le fœtus devra baigner dans le liquide amniotique présent dans le ventre de sa mère avant qu’il puisse devenir enfant, aura fait que l’esprit de l’homme aura, depuis toujours, été fasciné par l’eau, les mers, les océans.
Il le sera aussi par le sang qui coule dans ses veines, comme le ferait un torrent.
Cette fascination aura pris pied dans les religions dans lesquelles souvent l’eau aura pris une valeur sacrée dans leurs rituels.
De nombreux artistes, écrivains, cinéastes en auront aussi, depuis toujours, fait les louanges et des scientifiques auront décrit, rêvés, des planètes océans tournant autour de leur soleil un peu partout dans l’univers…
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