Humanité cosmique/Littérature/Expansion de la vie/ Le grand vide/ Sommes nous seuls dans l’univers ?
Image de mise en avant : Vie et Cosmos — Illustration, gouache Nicolas Antoniucci.
Gengis Kahn.
La Terre tourne autour de son Soleil dans le grand vide de l’espace parsemé de minuscules grains de sable en lévitation, les corps célestes. Sur certains d’entre eux, dans leurs airs, sol, eau, rivières et océans, la vie est apparue sous de multiples formes.
Elle défricha son chemin dans le temps, d’évolutions en évolutions, en progressant, de défis en défis, à partir de l’apparition de simples cellules, jusqu’à celles, des millions d’années après, de pyramides de vie complexes autonome et solidaire, tels des plantes et des animaux.
Ensuite, elle créa l’homme qui, grâce à ses pensées, ses analyses, déductions et réflexions, lui aussi, peut créer.
Grâce à une utilisation efficace des pratiques de la science, aujourd’hui, il envoie des machines sophistiquées dans l’espace, telles des fusées, lui permettant de sortir des limites de l’influence de la Terre et d’atteindre les étoiles que depuis, si longtemps, il observera avec intérêt, de civilisations en civilisations, poétiquement et scientifiquement.
En ce sens, par cela, il continue à subir les désordres du chemin de la Vie qui est, par nature, de puissance conquérante.
L’homme cherche, de nos jours, à coloniser d’autres mondes, d’autres planètes quitte à détruire celle qui pourtant, depuis toujours, l’aura vu naitre et l’accueille, la Terre.
Ceci finalement semblera logique puisque la Vie avance toujours de cette manière, tel un Gengis Khan, un Attila avec sa politique de terre brulée, entrainant alors l’humanité dans de funestes tourbillons.
Bientôt, les hommes enverront dans le vide cosmique, avec mille talents et compétences scientifiques, des ambassadeurs, humains ou robots, chargés de conquérir l’univers. Ils suivront ainsi le modèle que lui impose depuis toujours la Vie avec sa quête d’expansion à tout prix.
Face à toutes les perfections du monde vivant, l’homme fait figure de petit raté, ce qui l’obligea à fabriquer des outils pour compenser ses imperfections et pouvoir survivre.
Il fut, pour cela, aidé par un trop-plein, dans son cerveau, de petites cellules grises faisant, alors, parfois déborder son imagination, tel une rivière en crue.
Sur Terre, cependant, l’humanité devra rester solidaire du monde du vivant — avec ses plantes, ses animaux et ses hommes — et ne pas accepter la fatalité de destruction et de mort, ceux-ci étant malheureusement inhérent autant aux individus qu’aux civilisations, qui seront programmés, de facto, par la Vie elle-même. Même combat, même destin plutôt.
Un champion sur le ring de la vie.
Pour l’animal, l’homme est un champion sur le ring de la vie et il observera constamment les comportements de l’humanité. Lorsque, COVID oblige, les rues de nos villes se désertifièrent, certains d’entre eux, en sortant de leurs forêts, ou des profondeurs de la mer, étonnées, vinrent observer ce qui se passait — Les sabots des cerfs alors jouèrent des claquettes sur le macadam des trottoirs de nos villes, les museaux des renards fouillèrent dans les poubelles des immeubles…
J’ajouterais aussi que les objets feront partie aussi de l’univers même ceux qui liés au travail des hommes. La vie, plutôt la Nature, en créatrice de talent, liera toujours les acteurs de la vie qu’elle anime à ce qu’ils auront su créer, tel un oiseau à son nid, une abeille à sa ruche, un homme à sa fusée ou son aéroplane, ou même les différentes espèces entre elles, tel l’homme et l’animal qui sont connectés et solidaires — Interactifs.
Ce qui fera que, si on n’y prête pas attention, tout ce petit monde, aujourd’hui, sera entrainé vers les étoiles car il est en attente de confections de modernes arches de Noé pour quitter leur planète dévastée.
https://fr.wikipedia.org/wiki/L%27Arche_de_No%C3%A9
Des illusions.
Dans les diverses cultures des hommes se matérialiseront dans leurs mythologies, leurs contes et légendes, livres ou films, un imaginaire issus de leurs désirs et rêves. Il sera parfois peuplé de personnages surgissant d’autres parties de l’univers, des extraterrestres accompagnés de leurs vaisseaux spatiaux, tels que les hommes les auront, au préalable, décrits par l’art, la littérature ou les films.
La Vie, comme entité despote et autoritaire, alors, certainement, nous manipule, jours après jours, pour continuer son expansion dans l’univers.
Conquérir est intrinsèque, à son énergie et ce n’est pas modifiable.
Halte à l’impérialisme de la Vie !
Certains hommes cependant, par la science, les arts et sa spiritualité, s’efforceront depuis toujours de réparer les blessures béantes que produit sur Terre cette constante expansion de la Vie vers les étoiles. Elle suivra ce petit bonhomme de chemin depuis des millions d’années, depuis son apparition, sans jamais regarder en arrière ni se préoccuper des destructions qu’elle entraine.
Les petits hommes verts.
Mais, cependant, dans ce grand vide spatial infini, tout serait possible ou même probable, telle serait l’existence d’une forme de vie extraterrestre ayant, elle aussi, suivi de son côté la puissance de l’esprit de Gensis Khan, conquête et destruction, et fait émerger, sur une planète lointaine, une civilisation d’allien – Les petits hommes verts.
Un jour, peut-être et même certainement, les verrons-nous arriver mais, alors, rien ne peut, aujourd’hui, nous faire penser qu’un contact agréable puisse être possible, celui-ci ressemblant probablement plutôt à un combat de Sumo.
Tout ce qui, sur le plan archéologique, nous étonnera encore de nos jours, puisque nous ne savons pas comment les hommes auront pu faire, jadis, pour construire des édifices gigantesques, sans grues ni bulldozeur, aura probablement, comme seule réponse possible, que ces anciens hommes possédaient des particularités de connexion avec l’univers, d’ordre psychique, qu’aujourd’hui encore nous ne connaissons pas (ou ne pratiquons plus)… Des capacités cérébrales que le monde moderne a mises au placard.
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